« De qui je suis le nom… » est un très beau titre de livre. Ce titre explore le profond de la mémoire de soi et permet de se lier au monde, à la société et à soi. Ce faisant, savoir que que l’on retient de ses aïeuls, de ses parents pour devenir et se construire reste important pour la porteuse ou le porteur du nom.

À l’issue des cinquante-deux semaines de l’année, un livre sera édité avec les contributions des abonnés. Par ailleurs, un concours sera organisé avec les abonnés, récompensera la meilleure participation et la gagnante ou le gagnant recevra un gain lié à la découverte de soi.

« Doudou an mwen » est la chosification de personne…
Sécurisant, qui est de partout balader, confident du tout petit, le doudou est le compagnon indispensable du nourrisson dès la naissance et durant plusieurs années. Inséparables surtout à l’heure du coucher, il vit les joies, les chagrins, les colères et les moments de tendresse de l’enfant. Ce dernier attribue à l’objet une valeur affective particulière qui lui permet d’adoucir la séparation temporaire d’avec sa mère. À l’âge adulte, Doudou devient l’expression pour signifier la personne désirée voire aimée.
Aussi, certains utilisent Doudou pour exotiser leur rapport avec les femmes du lointain venant de pays étrangers et anciennement colonisés par les puissances européennes.
« Doudou an mwen » interroge l’objet pour mieux identifier l’être aimé au féminin comme au masculin.
À l’issue des cinquante-deux semaines de l’année, un livre sera édité avec les contributions des abonnés. Par ailleurs, un concours sera organisé avec les abonnés, récompensera la meilleure participation et la gagnante ou le gagnant recevra un gain lié à la découverte de soi.

« La déclaration d’amour est le passage du hasard au destin, et c’est pourquoi elle est si périlleuse » affirme le philosophe Alain Badiou et il ajoute : « L’amour n’est pas à proprement parler une possibilité, mais plutôt le franchissement de quelque chose qui pouvait apparaître comme impossible. »

Qu’y-a-t-il derrière les amours impossibles ? De l’admiration, du besoin, de la douleur, de l’amour, de la tendresse, de la compassion pour l’autre, de la dépendance émotionnelle ?

Depuis la nuit des temps, les histoires d’amours impossibles ont nourri notre quotidien.

Les grands succès littéraires et artistiques succombent à la douleur des amours impossibles, ceux qui échouent ou qui, tout simplement, n’auront jamais lieu, sauf dans notre imagination.

« Roméo et Juliette », « La Célestine », « La princesse Bride », « Don Juan Tenorio », ou « Les souffrances du jeune Werther », sont quelques uns des grands succès littéraires dont nous nous rappelons tous, qui fondent leur histoire sur l’amour et le désamour de jeunes prédestinés à ne pas être ensemble.

Les contes de fée, les films de Disney avec leurs amours éternels, et les feuilletons à l’eau de rose avec des centaines de rebondissements mais qui finissent toujours bien, nous ont poussé à croire que l’amour est tout-puissant, et que tout finit toujours bien.

Pourtant tous les amours ne sont pas possibles, un amour impossible est vraiment épuisant, perturbant et destructeur.

L’ombre de l’autre est une rubrique consacré aux possibilités amoureuses et champs des amoures impossibles, imaginaires ou réels…

Le bleu qui signale un accès ou une place de parking est la couleur la plus reconnue des personnes handicapées et des personnes valides. Cependant tous les handicaps ne nécessitent pas de fauteuil roulant. Le handicap peut être physique, sensoriel, mental ou intellectuel se rendant parfois visible, restant parfois invisible. Il engage une atteinte partielle ou totale de la motricité, regroupe les difficultés liées aux organes sensoriels, limite dans la rapidité des fonctions mentales sur le plan de la compréhension, des connaissances et de la cognition.

Incommodum est une lecture des instants, de la réalité, du quotidien discret et silencieux que vivent nombre de personnes souffrant d’un handicap et s’affrontent à un entourage peu empreint de compassion. Incommodun questionne sur la différence, visible ou cachée.

À l’issue des cinquante-deux semaines de l’année, un livre sera édité avec les contributions des abonnés. Par ailleurs, un concours sera organisé avec les abonnés, récompensera la meilleure participation et la gagnante ou le gagnant recevra un gain lié à la photographie ou à l’image ou au voyage pour les personnes handicapées.